Les cités du Vésuve, Partie 3/3 – Histoire d’une découverte #1

Les archéologues vont se succéder jusqu’au début du XXe siècle où un archéologue va s’imposer à la tête du chantier de 1927 à 1961, Amedeo Maiuri. C’est l’une des périodes de fouilles les plus intenses et, à sa fin, Pompéi ne sera plus fouillée pour des raisons de conservation. 

Les cités du Vésuve, Partie 2/3 – Histoire d’une découverte #1

Nous nous sommes quittés à la fin du XIXe. Les vestiges des cités antiques de Pompéi et d’Herculanum ont été mis au jour et les fouilleurs ont un but principal : la recherche des objets beaux et précieux. De ce fait, ils n’utilisent aucune méthode scientifique. Les sites sont pillés et de nombreux bâtiments antiques sont dégradés. Rapidement, la question de la conservation de ces vestiges se pose. A la fin du XIXe siècle, on cherche donc de nouvelles façons de fouiller le site, moins agressives et plus respectueuses des vestiges. Un homme incarne cette période de transition : Giuseppe Fiorelli.

Les cités du Vésuve, Partie 1/3 – Histoire d’une découverte #1

Pompéi est aujourd’hui un lieu mondialement connu non seulement pour ses vestiges uniques mais également parce qu’il présente un témoignage unique de la vie d’une cité antique. Cette richesse culturelle lui a permi d’être classée au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1997. Bien que l’histoire de la cité ait connu une fin tragique à la fin du Ier siècle, le site de Pompéi a trouvé une seconde vie après sa redécouverte au XVIIIe siècle. C’est celle-ci que je vous propose de découvrir aujourd’hui à travers une série d’articles revenants sur l’histoire de la redécouverte des cités vénusienne. Elle est rythmée par des hommes et des femmes qui ont eu à cœur de faire parler les vestiges et redonner la parole à ces Pompéien disparus sous les cendres du Vésuve. C’est par ce tragique incident de 79 de notre ère que notre récit débute.